Pour adoucir ta douleur et combler en douceur ce que laisse l’absence, je partage, par ces mots, mon soutien à distance.
Tel un oiseau migrateur
Une ombre de douceur
S’envole vers d’autres sphères
Où une âme se perd.
Tes yeux embués
Par un affreux crachin
Scrutent, impassibles
L’aurore tourmentée
Par ce mal soudain.
Et le cœur accapare
Le silence lourd de larmes.
Ou la foi creuse un nid
Entachée de l’agonie
Du souffle qui désarme.

L’habitude de la souffrance ne l’a rend pas davantage acceptable. Auteur
Même la pensée ne suffit pas à panser.
Mireille.
L’impossible peut devenir un possible.
Hâte de te lire et de te suivre sur ce beau chemin de mots.
Gros bisous ❤️
Merci beaucoup Elisabeth et bienvenue sur mon site.
bisous Elisabeth. Merci pour tes passages.
[…] Quand j’ai pris le crayon, je me sentais menacée par l’univers d’adultes. Une sensibilité au bord de l’asphyxie soulevaient mon incompréhension. Écrire s’est imposé à moi, comme ça, en amie. Je voudrais te dire ce que l’on ne peut pas dire. […]